| | des p'tites fiches pour l'hygiene... | |
| | Auteur | Message |
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crouz Actif
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: des p'tites fiches pour l'hygiene... Mar 16 Jan - 0:31 | |
| ca peut toujours aider a aller plus vite! | |
| | | crouz Actif
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: la santé et l'alimentation Mar 16 Jan - 0:33 | |
| LA SANTE ET L’ALIMENTATION
1. LA BALANCE ENERGETIQUE :
C’est l’énergie fournie par l’alimentation à équilibrer avc l’énergie qu’on dépense !
Assurer notre métabolisme de base : consommation d’énergie d’un organisme à jeun, au repos et à une température extérieure de 18°. consommation 1 kcal/min 1400 kcal/jr ( fct âge, sexe, activité…) Maintenir la T° corporelle à 37°C : qu’il fasse très chaud ou très froid.. Permettre la croissance : Construction & réparation tissulaire Assurer l’activité physique
Un adulte homme activité légère : 2100 kcal/jr activité intense : 3000 kcal/jr Une adulte femme activité légère : 1800 kcal/jr activité intense : 2200 kcal/jr entre 40-50 ans : 5% besoin alimentaire entre 50-60 ans : 5% après 60 ans : 10%
enfant 1-3 ans : 1360 kcal/jr garçon 10-12 ans : 2600 kcal/jr fille : 2350 kcal/jr garçon 16-19 ans : 3070 kcal/jr fille : 2310 kcal/jr
2. LES MACRO NUTRIMENTS :
2.1. Les protéines : valeur calorique : 4 kcal/g
protéine = association d’AA (22) 13 synthétisés par organisme 9 essentiels apportés par alimentation Protéines de haute valeur biologique (essentielles) Elles contiennent les AA indispensables en quantité adéquate On les trouve ds viande, volaille, lait, œufs, poissons
Protéines de basse valeur biologique Elles contiennent – d’AA ds les légumes, céréales… Soja contient les 9 AA indispensables !!
2.2. Les glucides : valeur calorique : 4 kcal/g
Glucides simples : composés d’un seul élément On a - les monosaccharides ( ds les fruitsfructose) - les disaccharides sous forme saccharose (betteraves) lactose (lait)
Glucides complexes : formés d’une longue chaîne Ce st les polysaccharides - résorbables (amidon) - non résorbables (celluloses, fibres)
on distingue les fibres : - insolubles : celluloses, lignines trouvées ds pain, riz, pâtes complexes… - solubles : pectines & gommes ds fruits&légumes rôle de désintoxication de l’organisme car elles absorbent subst nocives (métaux lourds, pesticides)
2.3. Les lipides : valeur calorique : 9 kcal/g
rôle ds la constitution des mb cellulaires, niveau syst nvx & protection organes vitaux
lipides simples : ce st les triglycérides = glycérol + 3 AG chaînes saturées ou insaturées acide linoléique & arachidonique st essentiels (poisson&huiles végétales) lipides complexes : association d’1 AG avc 1 sucre, 1 radical phosphoré(ou sulfaté) et 1 AA essentiels ds mb cellulaires&cerveau (jaunes d’œufs)
Le cholestérol : doit être 230 mg/dl ms il est indispensable 2 types de cholestérol : • le mauvais cholestérol (LDL) : basse densité 16mg/dl responsable des maladies cardio-vasculaires lipides saturés d’origine animale • le bon cholestérol (HDL) : haute densité 45mg/dl - mono insaturés : huiles végétales, graisses de volaille peut cholestérol total en agissant sur LDL - poly insaturés : origine végétale noix, noisettes, soja ; huiles tournesol, pépins r aisins
Les AG essentiels : uniquement ds l’alimentation - 3 : ALA : ac. -linolénique EPA : ac. éicopentaénoïque DHA : ac. docosahéxaénoïque - 6 : LA : ac. linoléique AA : ac. arachidonique GLA : ac. -linoléique Ex : huiles végétales ( tournesol, colza, soja, maïs, palme…)
2.4. Les vitamines : valeur calorique : 0 kcal/g
elles st apportées par l’alimentation
vitamines liposolubles : stockées ds foie & tissus gras
• vitamines A : sous forme rétinol ds thon, morue, œuf. vision, croissance osseuse • vitamines D : sous forme calciférol ds produits laitiers, poissons. croissance des os & dents • vitamines E : sous forme tocophérol ds lait, huiles V, légumes verts formation GR & rôle anti-oxydant • vitamines K : sous forme phylloquinone choux, épinards, céréales coagulation sang & nettoyage intestin
vitamines hydrosolubles : durée vie très courte risques carences
• vitamines B1 : sous forme thiamine ds noisettes, noix, beurre bon fonctionnement cardiaque&nvx • vitamines B2 : sous forme riboflavine ds abricots, légumes secs dégradation nutriments en NRJ • vitamines B6 : sous forme pyridoxine ds ts aliments bon fonctionnement nvx & formation GR • vitamines B12 : sous forme cobalamine ds bœuf, œuf, crustacés bon fonctionnement nvx & formation GR • vitamines C : sous forme ac. ascorbique ds persil, avocats fixation du fer, santé dents & capillaires
2.5. Les minéraux : valeur calorique : 0 kcal/g
60 dont 22 indispensables minéraux importants : Calcium ; Magnésium ; Sodium ; Fer…
Ex : - Calcium : ds lait, chocolat, fruits secs coagulation, contraction muscles, dents.. - Magnésium : farine, légumes verts, noix transmission influx nvx, contraction M - Sodium : ts aliments équilibre hydrique & tension artérielle - Fer : viandes, légumes, œufs formation GR
minéraux – importants : I ; F ; Cu ; Zn ; Co ; Mn
2.6. Les boissons :
L’eau : corps 70% eau régulation thermique, équilibre acide/base, transfert nutriments.. 2 à 2.5 L d’eau / jr (1.5 par alimentation) varier les eaux Les jus de fruits et de légumes : Apport de sucres simples, vitamines & minéraux Les limonades : 1 L 14-21 morceaux de sucres L’alcool : 1 g d’alcool 7 kcal Thé, café, cacao: Stimulent syst cardiaque&nvx, favorisent acidité estomac, diurétiques
2.7. La composition des menus :
Il faut varier !! penser fruits, légumes…..et exercice physique !!
Petit déjeuner : 20 à 25 % des AJR Déjeuner : 30 à 35 % des AJR Le souper : 30 à 35 % des AJR L’encas : 15% des AJR (fruit ou yaourt)
2.8. Le poids : Indice de Quételet ou indice de masse corporelle : Poids (kg) 20 I 25 normal I = ----------------------- 25 I 30 excès ou surcharge pondéral Taille² (m) 30 I 40 obésité 40 I 50 obésité morbide
ds l’obésité morbide, organes vitaux en danger, hypertension, accident vasculaire cérébral, risque de diabète… Pour hommes ; cancer colon & prostate Pour femmes ; cancer sein & utérus
Surcharge de 20 à 40 kg diminue espérance de vie de 10 ans !!!
2.9. Le régime efficace :
éviter effet yoyo : perte max de poids en mini de tps doit s’étaler sur long terme pauvre en calories (privilégier fruits&légumes) ms pas 1200kcal éviter lipides d’origine animale & bannir alcool tenir compte activité professionnelle & situation familiale considère perte d’un kilo / semaine est suffisant ne pas oublier exercice physique !!!
prise en charge KINE : régime établi par diététicien sur 15 jrs ( pas 1200 kcal / jr ) refaire musculature exos sur souffle, cardio-vasculaire… | |
| | | crouz Actif
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: la vaccination Mar 16 Jan - 0:34 | |
| LA VACCINATION
VACCINATION = moyen qui oblige l’organisme à élaborer des moyens de défenses Spécifiques contre un microorganisme bien déterminé
1. LES MOYENS DE DEFENSE DE L’ORGANISME : - moyen polyvalent ou non spécifique (qqsoit l’agresseur) - moyen spécifique (réaction adaptée)
1.1. Les moyens de défenses naturels : Les moyens non spécifiques : présents dès la naissance
• Barrière cutanéo-muqueuse : (locale) barrière physique : couche cornée de la peau (amas cellules mortes) au niveau muqueuses = épithéliums barrière mécanique : nez = turbulences de l’air poumons = cils vibratiles yeux = cils barrière chimique : sueur et sébum (bactéricides et fongicides ) larme et salive (enzymes) mucus (collant bactéricide) sucs digestifs ( HCl + enzymes ) sécrétions vaginales + urines (pH acide,nettoyage)
• La réaction inflammatoire locale : Mobilisation des phagocytes (cellules mangeuses de molécules) des lymphocytes NK (cellules tueuses) si réaction inflammatoire Rougeur, Chaleur, Douleur, Tumeur
• Intervention du syst lymphatique en loco-régional : lymphangite : diamètre des vaisseaux lymphatiq apparition cordons rouges qui vont vers relais le + proche adénopathie : mise en activité des ganglions qui jouent rôle de filtre
• La rate : filtre de tissu lymphoïde directement branché sur syst sanguin. germe passe ds sang septicémie rate réagit, elle volume splénomégalie fièvres, frissons, sueurs intervention rapide sinon mort
Les moyens spécifiques : que l’on acquiert pdt la vie notamment après maladie • La phagocytose : réalisée par les macrophages
• La réaction humorale : ds plasma sanguin, protéines spécifiques : Ac ou immunoglobulines IgG IgA IgM IgD IgE production d’Ac par lymphocytes B en présence d’un antigène (immunogène)
• La réaction immunitaire cellulaire : lutte contre les microorganismes intracellulaires (virus…) mise en jeu des lymphocytes T double intérêt : - à court terme : améliore défenses de l’organisme - à long terme : recherche rapide&efficace pr éliminer agent pathogène elle s’effectue en 2 tps : réponse primaire : délai de 8-15 jrs pr production d’Ac 4 étapes : - phase de latence : reconnaissance de l’Ag trouver l’Ac correspondant - phase de croissance exponentielle fabrication des Ac - plateau d’équilibre dynamique destruction Ag + tjs fabrication d’Ac - phase de déclin maladie vaincue, taux d’Ac ms pas = 0 réaction secondaire : 2è rencontre avc l’Ag mémoire de l’Ac fabrication+rapide patient ne fait pas la maladie phase latence + courte phase 2 : bcp + rapide + explosive phase 3 : + longue phase 4 : + lente
• Ce qui peut influencer l’immunité….
- âge : - bonne qualité des lymphocytes B et T - alimentation : - le cancer : tumeurs st immunosuppresseurs - les médicaments : anti-inflammatoires&antibiotiques - les troubles organiques : maladies pulmonaires et cardiaques
1.2. Les moyens de défenses artificiels : Aides extérieures apportées qd les moyens de défenses naturels n’ont pas rempli correctement leurs rôles
• Les antibiotiques : Ils st à base de substances naturelles (pénicilline) ou chimiques. - ils tuent l’agent pathogène : antibiotiques bactéricides - ils empêchent la multiplication de l’agent : antibiotiques bactériostatiques ils st administrés par voie orale, aérosol, pommade, intraveineuse…
• Les anti-inflammatoires : - les stéroïdiens : à base de cortisone effets secondaires non négligeables - les non-stéroïdiens : sans cortisone ; efficacité moindre ms effets secondaires supportables
• Les vaccins : Substance introduite ds un organisme et qui procure à celui-ci une immunité vraie contre une maladie microbienne ou parasitaire. Substance à base de virus, bactéries ou toxines qui ont perdu leur pouvoir pathogène ms qui ont tjs leur pouvoir antigénique. les germes vivants atténués : dont on a diminué la virulence une seule dose valable tte la vie les germes tués : dont on a tué la virulence ms on a gardé le pvr antigénique aucun risque de maladies même bénignes vaccin en plusieurs doses les anatoxines : addition de toxines bactériennes avc du formol pas possible avc tts les toxines ex : vaccin contre le tétanos et la diphtérie caractéristiques : immunité vraie, active, durable ms non immédiate ( délai de 2 à 4 sem entre administration et acquisition de l’immunité ) différentes réactions : précautions - tenir compte des contre-indications - respecter les dates de péremption - vérifier la qualité des vaccins réaction locale et bénigne : point douloureux au niveau injection réaction générale ms bénigne : fièvre, maux de tête… réaction générale et grave : pb rénal voir neurologique
contre-indications temporaires ou transitoires :
- lors grossesse : placenta jeune&très efficace - lors d’une maladie : - au décours d’une opération chirurgicale : laisser organisme se remettre - pdt un état allergique (surtt respiratoires&cutanées) contre-indications définitives :
tumeur maligne : cancer = immunosuppresseur si vaccin poussée de cellules cancéreuses dépression ou anomalie des mécanismes immunitaires - les nvx nés éliminent Ac de la mère par les leurs au – 2 mois post-naissance pour vacciner - chez pers âgées, évite vaccin sauf grippe&pneumocoque grippe ts les ans car virus change ; pneumo ts les 5 ans hypo- ou agammaglobulinémie : déficit génétique en Ig G personne immunodéprimée : en TTT chimio ou cortico-thérapie une maladie viscérale grave : pathologies cardiaques&rénales ; hépatites pulmonaires exceptions sur avis du spécialiste
• La sérothérapie : sérum contenant des Ac de le maladie concernée comparable à vaccination, utilisation sérum sanguin humain ou animal utilisé ds 2 situations : - ds un but thérapeutique (curatif) qd l’organisme a la maladie et qu’il n’arrive pas à se défendre cas d’urgence - ds un but préventif pr se protéger rapidement afin d’aller secourir des personnes ds une région en pleine épidémie Un sérum est toujours injecté par intramusculaire ou en sous-cutané
il y a des risques lorsqu’il s’agit de sérum animal !! certaines personnes ne le supportent pas (protéines différentes) et font un choc anaphylactique c’est un choc brutal qui amène la mort en qq minutes, soit par insuffisance respiratoire aiguë, soit par collapsus cardio-vasculaire
VACCINATION
immunité active organisme fabrique les Ac immunité durable
immunité non immédiate délai de 2 à 4 sem pour fabrication
SEROTHERAPIE
immunité passive pas de fabrication immunité transitoire
immunité immédiate | |
| | | crouz Actif
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: le sida Mar 16 Jan - 0:35 | |
| LE SIDA
1. HISTORIQUE : - 1959 : 1er mort du SIDA - 1981 : Pneumocystis Carinii + sarcome de Karposi chez hommes homosexuels - 1987 : 1er antiviral = AZT (azidothymidine) - 1997 : mise au point des tri-thérapies
3 critères du séropositif : - pneumopathie récidivante - tuberculose pulmonaire - cancer du col de l’utérus région la+touchée : Afrique subsaharienne
2. PARCOURS DU VIRUS DS L’ORGANISME :
virus du Sida = rétrovirus à ARN avc capside + enzyme enzyme = transcriptase inverse permet de passer ARN viralADN proviral virus va s’attaquer aux LT4 paralyse les défenses de l’organisme s’attaque aussi aux macrophages
3. LE CYCLE DE REPLICATION DU VIRUS : 5 phases - pénétration ds la cellule - rétro-transcription - intégration (rentre son code génétique ds la cellule) - maturation : virus vit&se dvp ds la cellule - bourgeonnement : cellule épuisée autre cellule
4. LA CONTAMINATION : • voie sanguine : transmission directe ( personnes transfusées&toxicomanes ) • voie sexuelle : par le sperme&les sécrétions vaginales • voie fœto-maternelle : pdt grossesse, accouchement, allaitement
5. LES ETAPES DE L’INFECTION :
• primo-infection : période ki passe inaperçue car pas de signes cliniques certains symptômes font penser grippe, mononucléose période aveugle : personne contaminante ms test négatif Ac détectables après 3semaines mini Par voie sexuelle 3sem5/6mois Par voie sanguine 3sem3mois • séroconversion : Ac sont détectables sujet est déclaré séropositif • phase de latence : période ki précède le moment où le séropositif devient malade du Sida ; de 6 mois à 20/25 ans !! un séropositif ne récupère jms tte sa capacité immunitaire dégradation en pallier système immunitaire attaqué par des infections mineures infections opportunistes ( profite de la faiblesse du syst immunitaire) persistantes ( dure + lgtp que la normale ) ( ce st svt des auto-infections ) • la maladie : syst immunitaire tellement faible qu’il ne lutte plus taux normal T4 = 1000/mm3 si maladie 200/mm3 3 symptômes : - infection opportuniste grave pneumocytose à pneumocystis Carinii infection niveau digestif (champignons) - cancers notamment sarcome de Karposi lymphome (syst lymphatiq) - pbs neurologiques voir psychiatriques
6. LES TESTS DE DEPISTAGE :
Test sérologique mesurant le taux d’Ac ds le sang. - test Elisa : test rapide, peu onéreux&très fiable car très sensible aux Ac résultats entre 5 et 15 jrs si test - recommence ds les 3 mois si test + test complémentaire : Western Blot test spécifique car détermine les protéines du virus ms coût+important, analyse + longue et + complexe - autotest : semblable au test de grossesse non fiable à 100%
7. LE TRAITEMENT :
Le traitement le+utilisé est la tri-thérapie à base d’anti-viraux et d’anti-protéases 2 antiV + 1 antiP ou 2 antiP + 1 antiV TTT non curatif (inhibe l’infection) permet de faire baisser spectaculairement le virus (ms tjs présent) d’augmenter la durée de la période de latence de baisser le nb d’hospitalisation très bons résultats chez sujets naïfs ( 1ère tri-thérapie ) 4 critères : - charge virale : concentration du virus ds le sang - nb de cellules infectées ( LT4 ) - passé thérapeutique du patient (depuis combien de tps il est malade) - capacité du patient à suivre son TTT : TTT lourd, bcp de médicaments à prendre à heure précise, avc effets secondaires….
Tri-thérapies très coûteuses = 1000 € / mois
8. LA PREVENTION :
• niveau voie sanguine : - risques chez les transfusés pas de transfusion si pas sûr de la détection - risques chez les drogués par intraveineuse seringues&aiguilles à usage unique • niveau voie sexuelle : utilisation du préservatif et préservatif pour femmes • niveau voie foeto-maternelle : consultation chez gynéco, pédiatre, infectiologue
9. LA PREVENTION PROFESSIONNELLE :
Précautions classiques : - port de gants et panser hermétiquement les lésions cutanées - lavage systématique des mains avc savon antiseptique - mettre masque, lunettes, sur-blouse - ranger matériel tranchant ou piquant après utilisation - désinfecter tte surface en contact avc du sang ou liquide biologique
10. QUE FAIRE EN CAS D’ACCIDENT ?
• Si piqûre ou coupure : faire saigner puis laver à l’eau avc antiseptique Enfin rincer et désinfecter • Si projection sur muqueuses : rincer abondamment à l’eau • Si contact avc peau lésée : laver avc produit adéquat et désinfecter Il faut agir très vite !! possibilité faire un test de dépistage Autre recours : TTT tri-thérapie préventif ds les 2h
11. REACTION DU KINE FACE A UN SEROPOSITIF
Aucun cas de transmission ds la profession Prévention classique comme pour maladies nosocomiales désinfecter Si kiné a des plaies niveau mains ou avant bras éviter massage
12. LA VIE D’UN SEROPOSITIF : - surveiller sa santé - moment de séroconversion bilan général puis 2 bilans / an - préserver leur santé par rapport maladies opportunistes - utilisation préservatif - importance soutien familial&médical
13. LA VIE AVC UN SEROPOSITIF : - mêmes précautions qu’à l’hôpital - utiliser préservatifs, protéger tts les plaies, désinfecter, laver linge à 60° - ne pas utiliser les mêmes objets de soins corporels(rasoir, brosse à dents..) | |
| | | crouz Actif
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| Sujet: les maladies infectieuses Mar 16 Jan - 0:37 | |
| LES MALADIES INFECTIEUSES
1. LES BACTERIES :
- reproduction par scissiparité ou fissiparité - forme : • sphériques = coques • bâtonnets = bacilles • tubes = vibrions - mode de regroupement : chaînette/grappe - réaction colorant : gram + / gram – - déplacement : immobiles / cils ou flagelles - façon vivre : aérobie / anaérobie éléments csts : noyau – cytoplasme- mb cytoplasmique – paroi bactérienne
éléments incsts : flagelle – capsule – spore – pili
TTT : asepsie / antisepsie / antibiotiques / vaccin
2. LES VIRUS :
- acide nucléique : ADN / ARN - capside : cubique / hélicoïdale / mixte - nb de capsomères constituants capside ( adéno ou entéro virus ) - nucléocapside ( présence ou non )
3. LES PARASITES : sur l’homme et dans l’homme - arthropodes : insectes piqueurs et hématophages acariens ( arachnides ) - vers ou helminthes : vers ronds ( nématodes) vers plats non segmentés (trématodes) vers plats segmentés (cestodes) - protozoaires : amibes (dyssentrie) flagellés (trichomona) sporozoaires (paludisme)
4. LES MICROORGANISMES VEGETAUX : - levures - filaments - dimorphismes actions sur l’homme au niveau superficiel ( pityriasis ) au niveau profond ( aspergillose )
5. LES RESERVOIRS D’AGENTS PATHOGENES :
• L’homme : - état de malade apparent - état de malade inapparent - état de porteur sain ( période d’incubation ) - état de porteur sain tardif ( période de convalescence)
• L’animal : 4 même que pour l’homme
• Le milieu extérieur : - sol (tétanos) - eau (salmonelle) - alimentation - air (patho pulmonaire) mode transmission : - voie directe ( réservoir organisme ) - voie indirecte (intermédiaire)
voies transmission : - voie aérienne = voie pfluggienne - voie digestive - voie cutanéo-muqueuse - voie uro-génitale
6. PROPHYLAXIE = PREVENTION
LIMITER la maladie ERADIQUER la maladie
Eviter les contaminations, mettre au point un traitement, entreprendre un isolement… chimioprophylaxie ( médicaments préventifs ) gamma-globulino-thérapie ( sérothérapie ) | |
| | | crouz Actif
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| Sujet: les maladies nosocomiales Mar 16 Jan - 0:38 | |
| LES MALADIES NOSOCOMIALES
1. L’HYGIENE HOSPITALIERE :
hygiène proximale : celle du patient hygiène distale : celle de l’hôtellerie hygiène qui vise à la protection des soignants
2. LES INFECTIONS NOSOCOMIALES : 2.1. Définition : Ce sont les infections acquises dans un hôpital par un patient qui n’a pas été admis pour ces infections. Les bactéries les plus courantes sont : staphylo doré, protéus, strepto, eschérichia coli.
2.2. Epidémiologie et étiologie : - méconnaissance et manque d’informations - manque de personnel - hôpital lui-même (concentration de microorganismes) - augmentation du nb de patients sensibles à l’infection - hyperspécialisation des techniques de soins - insuffisance de l’organisation (pbs de nettoyage) - actes invasifs ( pose sonde, perfusion, cathéter ) - résistance aux antibiotiques
2.3. La chaîne infectante : ( 6 maillons ) - agent pathogène ou contaminant (bactérie) - réservoir ( vivant / environnemental ) - la porte de sortie du réservoir ( orifices naturels ou artificiels ) - mode ou moyen de transmission endogène = auto infection exogène = hétéro-infection - porte d’entrée de l’agent ( orifices naturels ou artificiels ) - l’hôte (personne hypersensible = hypersensibilité inhérente ou acquise)
2.4 Les maladies nosocomiales fréquentes : - infections urinaires - infections des plaies - infections respiratoires - infections venant des cathéters intraveineux - infections diverses ( osseuses, cardio-vasculaires, nerveuses )
2.5 Objectifs contre l’infection : - identifier rapidement l’agent pathogène - mettre en place des barrières pour casser la chaîne épidémiologique entre malade / perso soignant perso soignant / malade malade / malade différents isolements : • isolement absolu ( IA ) contre les maladies contagieuses (jaune) • isolement respiratoire ( IR ) (rouge) • isolement entérique ( IE) (brun) • isolement cutané ( IC ) (vert) • isolement protecteur ( IP ) patients immuno-déprimés
2.6 Les recommandations au personnel soignant : - respect des règles d’hygiène de base au moins 1 douche/jr, cheveux propres&attachés ; maquillage discret…. - la tenue - le lavage des mains agit sur flore commensale (résidente, permanente) flore transitoire (acquise, passagère)
• lavage simple, courant : avc savon normal, dure 15 à 30 s réduit légèrement flore transitoire • lavage antiseptique : élimine flore transitoire&réduit flore commensale efficace 15 à 30 min ms doit durer 1min savon liquide spécifique à base de chlorexidine ou d’iodophore • lavage chirurgical : élimine flore transitoire&agit bcp&lgtp sur flore commensale(2à6h) utilise brosse pr ongles&espaces interdigitaux lavage en 2x2min ou 2x3min avec savon antiseptique
2.7 Prévention du risque infectieux pour les professionnels : (1% risques) - personnes exposées : soignants, médicaux-techniques, ouvriers de blanchisserie, agents d’entretien, personnel des services d’anatomo-pathologie - risques : respiratoires ( port masque, vaccin , dépistage…) gros risque cutanéo-muqueux (transmission par sang&liquide biologique) si projection sang lavage avc liquide antiseptique ou eau de javel | |
| | | crouz Actif
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: le sommeil Mar 16 Jan - 0:39 | |
| LE SOMMEIL
INTRO : 3è des besoins indispensables après respirer et boire Bruit, stress&médicaments st des causes du mauvais sommeil… On passe 1/3 de notre vie à dormir récupération physique&psychique !! 1/3 des gens consultent pour des troubles du sommeil
1. LE FONCTIONNEMENT D’UN SOMMEIL NORMAL :
Une nuit se divise en cycles ; chaque cycle dure entre 60 et 100 min On prendra comme référence une nuit de 8 h où il y a entre 5 et 6 cycles
1.1. Phase de sommeil lent (SL) : phase de non REM ( mvt oculaire rapide)
L’éveil : (5%) phase de transition, mise en condition pr dormir La somnolence : (3%) pas tout à fait endormi Phase de sommeil : (45%) tonus, activités cardiaque&cérébrale Début du sommeil profond : (7%) ts les paramètres st au+bas Phase de sommeil profond : (18%) récup importante physiquement
1.2. Phase de sommeil paradoxal (SP) : sommeil rapide ou REM (20%) Les REM reprennent, le rythme respiratoire s’accélère. peut y avoir contractions utérines&érections période des rêves
2. LE SOMMEIL EN FCT DE L’AGE « petit on dort formidablement bien, adolescent on ne dort pas autant qu’on le devrait ; en vieillissant, c’est pas la gloire !! » 2.1 Le fœtus : dort énormément à fin de la grossesse avc, pdt sommeil, périodes agitation/immobilité - avant 20è sem : proche de la léthargie - à partir 20è sem : début cycles agitation/immobilité commence à organiser son propre rythme - à partir 28è sem : sommeil agité = sommeil paradoxal sommeil lent = 30è sem si bébé dort à naissance bonne santé 1ère souffrance = réveil (par fessée) importance phase paradoxale car début structuration du cerveau mise en place&organisation du SN central ( fct respiration, alimentation…) 2.2 L’enfant : 4 périodes • naissance à 12mois : bcp de sommeil ; 70% vie de bébé dominance phases paradoxales dvpt cerveau • de 1 à 5 ans : 2 siestes ds la journée (1 matin & 1 aprèm) SP devient + calme • de 5 à 10 ans : siestes rares périodes d’endormissement dû à activité scolaire • adolescence : durée sommeil périodes scolaires / congés pdt école, sommeil restreint alors que besoin bcp sommeil sommeil ado = mi-chemin enfant / adulte
2.3. L’adulte : - fin adolescence à 20ans, sommeil profond progressivement - entre 40&50ans, sommeil profond continue de diminuer et périodes d’éveil st de+ en + fréquentes !! - à partir 60ans, sommeil profond a disparu et périodes d’éveil + longues(3min) période d’éveil dépasse 14s gens s’en souviennent période d’éveil de ½ à 14s gens ne s’en souviennent pas pers âgées dorment plus ms sommeil de moins bonne qualité
3. LES FONCTIONS DU SOMMEIL :
pdt sommeil, T° corporelle avec mini vers 2-3h matin (-1°ou -2°) rythmes cardiaque&respiratoire, tension artérielle pdt SL pdt SP
fct de récupération:
2 théories : - pdt nuit, on conserve son NRJ (métabolisme au ralenti) - pdt sommeil, on restaure NRJ perdue pdt journée division cellulaire (grâce sécrétion mélatonine) protéosynthèse sécrétion hormonale (notamment GH)
fct de mémorisation :
S paradoxal nécessaire pr enregistrer infos de la journée Travail de meilleure qualité si élément stressant éviter les nuits blanches mieux vaut dormir peu que pas du tout
fct humorale : sommeil influence humeur et influence sur plan psychique
fct de défense : comparable à toux (défense des poumons) bâillements, yeux qui piquent … si signes d’envie de dormir organisme prévient que NRJ basse besoin récupération
4 . LES TROUBLES DU SOMMEIL : troubles svt dus : - bruit - excitants (tabac, alcool, café, soda…) - alimentation - activité physique intense avant de dormir - facteurs géographiques (mer perturbe+que montagne pr stressés) - stress, événement ponctuel (décès..) - ménopause, syndrome nid vide pour femmes - pbs respiratoires pour hommes
4.1. Les insomnies : perte totale des capacités de sommeil • insomnie transitoire : dure qq jours ; due dérèglement horloge biologique • insomnie à court terme : dure 1 à 3 sem ; due décès, maladie • insomnie chronique : 3 sem ; dépression, anxiété, abus subst….
4.2. Les dyssomnies : perte ou trouble momentané du sommeil 4.2.1. les dyssomnies intrinsèques : • dyssomnies psycho-physiologiques dues à élément stressant (deuil, exam…) • dyssomnies idio-pathiques dues trouble organique ; ne dort pas + 2h/nuit • narcolepsie : besoin pathologiq&exagéré de sommeil cause : tumeur ou traumatisme • dyssomnies respiratoires : - apnée du sommeil : pbs HTA, dépression latente, pb sexuel arrêt de respirer pdt 10s à 1min (600x/nuit) taux 02 inspiration - hypopnée : pas d’arrêt respiratoire ms difficulté de l’air à circuler ds voies respiratoires (ex : rhinites) - syndrome d’hypoventilation alvéolaire : mauvaise fixation de l’02 à cause de la graisse (obèses)
4.2.2. les dyssomnies extrinsèques :
• dyssomnies d’altitude : pbs de sommeil fractionné • boulimie nocturne et potomanie intense envie de manger (bou) ou de boire(poto) la pers peut se lever jusqu’à 5/6 fois/nuit origine pdt période de l’enfance • sommeil restreint : pers qui considère que sommeil = inutile recule l’heure d’aller coucher
4.3. Les troubles du rythme veille-sommeil :
Troubles liés au rythme circardien (rythme bio dont cycle = 24h) • Travail posté • Décalage horaire ( jet-lag ) • Retard de phase : lorsqu’on décale la nuit On va coucher 2h mat et on se lève à 11h
4.4. Les parassomnies : Troubles de l’éveil :
- ivresse du sommeil (éveil avc confusion) gens ne s’éveillent pas complètement ; ne se souviennent pas - le somnambulisme : trouble du sommeil profond ; bcp chez enfants - les terreurs nocturnes chez enfants vers 4 ans ; image d’un monstre la nuit - les troubles de la transition veille-sommeil somniloquie : gens qui parlent pdt sommeil sursauts de sommeil : impression de tomber ; crampes - paralysie du sommeil : personnes qu’on ne peut réveiller - arrêts du cœur - bruxisme : grincement des dents - déglutition anormale : salive peut passer ds voies respiratoires - ronflement - cauchemars, crampes nocturnes (surtt mb infé)
5. LE TRAITEMENT :
TTT simples : pour traiter les crampes cure de calcium
TTT particuliers : à base de médicaments sans rapport avc le trouble Ex : maladie Parkinson Médicaments donnés peuvent avoir effets sur crampes
TTT lourds : respirateurs nocturnes pr les ronflements interventions chirurgicales (voile du palais) pr ronflements prises en charge psychologique ( technique hypnotique)
prise en charge kiné au niveau relaxation
•QUELQUES CONSEILS : - chambre : doit être fraîche&sombre, bien aérée (pas surchauffée), calme, silencieuse et en rapport avc nos goûts - lit : sommier à lattes, matelas de très bonne qualité & oreiller physio à 2 bosses - draps propres & bien tendus (pts d’hyper pression) couette préférable - éviter les repas trop lourds ; la pratique physique intense - lire qq pages peut favoriser le sommeil - idéal = se réveiller le matin sans sonnerie
lorsqu’on se réveille la nuit & qu’on arrive pas à se rendormir conseiller de boire & lire jusqu’à ce qu’on sente la fatigue | |
| | | crouz Actif
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: Re: des p'tites fiches pour l'hygiene... Mar 16 Jan - 0:45 | |
| au fait !! merci blondun a la base ca m'avait sauvé la vie!! | |
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| Sujet: Re: des p'tites fiches pour l'hygiene... | |
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| | | | des p'tites fiches pour l'hygiene... | |
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